Analyse de “N’importe où hors du monde”

 

Baudelaire décrit le désir de voyager comme l’anticipation de nos âmes pour la vie. Le narrateur remarque que les gens veulent voyager ailleurs de chez soi. Sa métaphore de l’hôpital et les malades là-dedans indiquent qu’il y aura le panace pour n’importe qui rend des gens mal à l’aise. Ensuite, le narrateur pose des questions à son âme, la partie essentielle de son être. Il suggère quelques endroits où il peut aller, et son âme n’a aucune réponse jusqu’au fin, où il répond au narrateur que n’importe où hors de ce monde suffira.
Il y a deux interprétations qui a de la logique : celle qui est plus littéral, dans le contexte duquel l’âme veut que le narrateur voyage à la vague de l’espace, ou celle qui indique figurativement que l’endroit doit être fantastique. Il est plus logique dans le contexte du sens figuratif que littéral, qui est fascinant avec la doute qui parcourt les pensées du narrateur.
Le commencement de ce passage utilise une métaphore pour le monde comme hôpital et les gens comme des invalides. Il suggère que les gens ne veuillent que voyager, et que voyager guérisse leurs maladies. Il fait partie de la vie comme un rite de passage pour devenir une personne réalisée. Donc, il est logique que l’homme continue à demander à son âme d’où il doit voyager pour réaliser sa vie et qu’il n’apprécie pas le silence de son âme.
Puisque son âme ne répond pas à ses enquêtes de voyage, le narrateur se rend de plus en plus anxieux. Ses suggestions pour des endroits deviennent aussi de plus en plus grandioses. Il se demande si son âme soit vive, et ceci le concerne jusqu’à ce qu’il suggère des endroits qui sont “les analogies de la Mort” pour l’âme comme Tornéo ou le bout de la Baltique. Son inquiétude remonte beaucoup lorsque son âme ne répond point, et donc l’âme constate que n’importe où on va, l’âme s’amusera parce que voyager fait partie de la vie.
L’âme dit que voyager n’importe où est bénéfique tant qu’on prend quelque chose de l’expérience. En effet, le message de l’âme est à voyager jusqu’à ce que le narrateur ait une esprit remplie et une vie réalisée. Tous les endroits vaudront le même si le voyageur ramasse de la sagesse. Le narrateur doit donc choisir un endroit et voyager jusqu’à ce qu’il se sentisse satisfait dans sa vie.

 

Charles Baudelaire, “N’importe où hors du monde”, in Le Spleen de Paris, NRF/Poésie, Gallimard,
Paris. Uploaded to Cahiers Libres 20 June, 2015. Accessed 11 February, 2016.

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